Le hockey a changé. L’assurance aussi. Nous avons changé l’assurance en offrant une couverture personnalisée dans un langage simple et à un prix concurrentiel, et ce, entièrement en ligne. Pour découvrir comment le hockey a changé, nous avons demandé à quelques joueurs de s’asseoir avec Devin Smith, Directeur principal, Marketing et relations communautaires chez
[Nous ouvrons sur une toile de fond noire avec Mark Scheifele]
[Texte à l’écran : Mark Scheifele, Jets de Winnipeg]
[Animateur : Devin Smith // Titre : AJLNH]
>>DEVIN : Mark, je suis ravi de vous rencontrer dans ce
[Coupe à Devin Smith]
[Texte à l’écran : logo de Sonnet]
...segment de Sonnet.
[Texte à l'écran : Présente Hier vs aujourd'hui]
Il s’agit d’Hier vs aujourd’hui
et nous parlerons de
[Coupe à Mark Scheifele]
votre passé et d’où vous en êtes dans votre carrière.
[Coupe à Devin Smith]
Un grand nombre de personnes disent « Si j’avais su ce que je sais aujourd’hui, les choses se seraient passées autrement ».
[Coupe à Mark Scheifele]
Quel conseil aimeriez-vous donner à vous-même lorsque vous étiez jeune?
[Coupe à Devin Smith]
>>MARK : Je pense que le plus important serait
[Coupe à Mark Scheifele]
« Ne perds pas ton temps sur des choses insignifiantes ». Je pense qu’en grandissant, on commence à penser à des choses sur lesquelles on n’a aucun contrôle ou encore des choses qui ne sont pas importantes dans l’ensemble. Je me préoccupais un peu trop de ces choses en grandissant;
[Coupe à une vieille photo de Mark, enfant, patinant avec un autre garçon]
si je pouvais revenir en arrière, je me dirais
[Coupe à Mark Scheifele]
« Ne perds pas ton temps sur des choses insignifiantes ».
[Coupe à Devin Smith]
>>DEVIN : J’aimerais qu’on parle des aptitudes que vous avez acquises
[Coupe à Mark Scheifele]
en vivant seul
[Coupe à Devin Smith]
lavage, ménage...
[Coupe à Mark Scheifele]
Ce genre de trucs.
Êtes-vous bon dans ce genre de tâches?
Est-ce que ça vous a pris du temps pour vous faire à ces tâches?
>>MARK : Absolument.
Je pense que le lavage est la tâche la plus difficile que j’ai dû apprendre à faire, simplement de séparer les couleurs pâles des couleurs foncées, la température à laquelle laver certains vêtements. Peu importe ce que c’est. C’est ce qui a été le plus difficile.
Je suis quand même un bon chef cuisinier. J’ai appris... J’ai habité avec un colocataire pendant un été, Julie Malciori, et il était un excellent chef.
Il avait un an d’expérience dans la ligue et il a un peu appris à cuisiner de son père lorsqu’il grandissait et a appris à faire un grand nombre de choses. C’est pourquoi il m’a appris à cuisiner et que je suis quand même un bon chef.
Je ne le fais pas souvent, mais je ne suis pas si pire
[Coupe à Devin Smith]
lorsque vous me mettez devant un four.
[Coupe à Mark Scheifele]
Je pense donc que le lavage était la tâche la plus difficile à apprendre.
[Coupe à Devin Smith]
>> DEVIN : Avez-vous des histoires lorsque vous retournez à Kitchener
[Coupe à Mark Scheifele]
et rencontrez des partisans ou des enfants; est-ce que les gens vous reconnaissent?
>> MARK : Un peu plus maintenant que dans le passé. À Noël, j’étais dans un restaurant avec mon agent et nous prenions
[Coupe à Devin Smith, hochant la tête]
notre déjeuner. Une équipe de hockey
[Coupe à Mark Scheifele]
est entrée avec quelques enfants. Un d’entre eux m’a reconnu et soudainement, à la fin du déjeuner, j’autographiais leurs serviettes en papier avec des crayons de cire.
>> DEVIN : [en riant] C’est formidable.
>> MARK : Ce fut une expérience géniale de voir le soutien et d’être reconnu dans ma ville natale. Ça a été une expérience qui rend humble.
>> DEVIN : Fantastique. Il n’y a pas si longtemps, c’est vous qui demandiez des autographes.
>> MARK : Oui. J’aurais fait exactement la même chose.
[Coupe au-dessus de la prise de l’épaule de Devin, vers Mark Scheifele]
>> DEVIN : Vous parlez beaucoup de vos parents et de l’influence que votre père, Brad, et votre mère,
[Coupe à Mark Scheifele]
Mary-Lou, ont eu sur vous et vous avez répondu à des questions sur votre éducation, donc nous avons pensé qu’il serait bien d’inviter votre mère ici pour vérifier certaines histoires et lui faire répondre à quelques questions.
>> MARK : Absolument.
[Coupe à Devin et Mark regardant en direction de la caméra, qui sourient à la mère de Mark, Mary-Lou, qui marche vers le plateau]
[Coupe à Mark Scheifele]
Allo maman.
[Invitée : Mary-Lou Scheifele // Mère de Mark Sheifele]
>> MARY-LOU : Allo chéri.
[Mary-Lou arrive dans l’image et s’assoit sur une chaise, à côté de Mark]
Je ne suis pas certaine de ce lavage dont tu parlais.
>> MARK : Que veux-tu dire?
>> MARY-LOU : Tu fais du lavage?
>> MARK : J’en ai déjà fait.
[Coupe à Mary-Lou qui rit et serre la main de Devin en dehors de l’image]
>> DEVIN : Bonjour Mary-Lou, je suis Devin.
>> MARY-LOU : Bonjour Devin, heureuse de faire votre connaissance.
>> DEVIN : Vous avez élevé un garçon fantastique.
>> MARY-LOU : Merci. Je crois qu’il nous donne beaucoup
[Coupe à Mark Scheifele qui sourit et rougit]
trop de crédit.
>> DEVIN : Non. Vous le méritez.
[Coupe à un plan d’ensemble de Mark et Mary-Lou]
Parlons-en!
[Coupe à une vieille photo de Mark, enfant, vêtu d’un uniforme bleu, blanc et rouge sur la patinoire]
Le crédit et lorsqu’il était petit.
Comment était-il?
[Coupe a Mary-Lou Scheifele]
Comme il est maintenant?
>> MARY-LOU : Je pense que le terme qui revient le plus souvent est qu’il était intense à propos de tout.
>> DEVIN : Intense? Ok.
>> MARY-LOU : Intense
[Coupe à Mark Scheifele qui sourit]
intense, peu importe le sport.
Était-ce
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
la saison de volleyball au secondaire? Son frère et lui jouaient au volleyball sur le toit et détruisaient tous les bardeaux.
>> MARK : [rit, hors champ]
[Coupe à Mark Scheifele qui rit]
>> MARY-LOU : Ou c’était le basketball. Ils passaient des heures
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
à jouer au basketball.
Ils passaient des heures à jouer à Lacrosse.
Peu importe ce qu’il faisait, il se donnait à fond.
Une fois qu’il a réalisé que le hockey
[Coupe à une vieille photo de Mark, enfant, dans un uniforme de hockey à côté d’un jersey marqué « Scheifele 55 »]
allait être son sport — c’était toujours sa passion — mais lorsqu’il se concentrait
[Coupe à un plan d’ensemble de Mark, Mary-Lou et l’arrière de la tête de Devin]
entièrement sur le hockey,
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
il savait qu’il allait devoir tout donner, et c’est ce qu’il a fait.
[Coupe à un plan d’ensemble de Mark, Mary-Lou et l’arrière de la tête de Devin]
>> DEVIN : À quel point êtes-vous fière, en tant que mère?
[Coupe à Mark Scheifele]
Et votre mari, Brad? Je trouve que
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
le fait qu’il est un joueur de hockey est génial, mais
[Coupe à un plan d’ensemble de Mark, Mary-Lou et l’arrière de la tête de Devin]
il également est également une si bonne personne. Comment le vivez-vous, en tant que mère?
>> MARY-LOU : Oui, ce l’est.
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
J’ai souvent les larmes aux yeux.
[Coupe à un plan d’ensemble de Mark, Mary-Lou et l’arrière de la tête de Devin]
Vous lisez, par exemple, un petit texte sur lui qui laisse son espace de stationnement à
[Coupe à Mark Scheifele]
quelqu’un qui est en retard à un examen.
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
Ce genre de trucs peut sembler minime, mais c’est probablement ce dont je suis la plus fière.
[Coupe à Mark Scheifele]
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
Nous avons toujours su qu’il était un bon athlète, mais il réussit dans tout ce qu’il fait.
Je me souviens de la première partie où tu as fait un tour du chapeau avec Barrie.
[Coupe à Mark Scheifele]
L’équipe a perdu contre Brampton à 9 contre 3,
[Coupe à un plan d’ensemble de Mark, Mary-Lou et l’arrière de la tête de Devin]
mais Mark a marqué tous les buts.
Au cours des
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
des deux à trois semaines suivantes, de temps en temps, je repensais à son tour du chapeau dans la LHO. Ça me semblait irréel et ça me ramenait
[Coupe à Mark Scheifele]
en arrière, mais maintenant il l’a aussi fait dans la LNH!
>> DEVIN : [rit, hors champ]
C’est super.
>> MARY-LOU : J’aime aussi me les remémorer.
[Coupe à Mary-Lou Scheifele]
Simplement d’enregistrer ces moments, d’y repenser et de se souvenir à quel point c’était génial.
[Coupe à Mark Scheifele qui rougit]
>> DEVIN : Toujours plaisant de jaser avec vous.
Merci de vous être jointe à nous
[Coupe à un plan d’ensemble de Mark et Mary-Lou]
et passez une belle journée.
[Texte à l’écran : logo de Sonnet + logo de l’AJLNH]
[Mark Scheifele est un porte-parole payé pour Sonnet. AJLNH, l’Association des joueurs de la Ligue Nationale de hockey et le logo de l’AJLNH sont des marques de commerce de l’AJLNH utilisées sous licence. ©AJLNH. Tous droits réservés. Sonnet Assurance est une marque déposée. Sonnet Assurance est une compagnie d’assurance sous réglementation fédérale.]
Lorsque Mark Scheifele arrive au vestiaire, ses serviettes sont pliées, ses bas sont reprisés et son maillot est accroché.
Tout ça, c’est grâce à la grande équipe de professionnels qui s’occupe des 5 000 livres de lessive et d’équipement des Jets de Winnipeg. Les préposés à l’équipement lavent jusqu’à 60 paires de sous-vêtements et 140 serviettes dans des laveuses qui roulent du matin au soir, s’assurant que tout est parfait avant que les joueurs se lancent de nouveau sur la glace, que ce soit pour une pratique ou un match du samedi soir.
À la maison, c’est différent; Mark est laissé à lui-même. C’est une des nombreuses choses qui ont changé dans la vie de Mark et dont il nous parle dans son segment Hier vs aujourd’hui de Sonnet, en collaboration avec l’AJLNH.
« Je suis quand même un bon chef cuisinier »
Il a appris à cuisiner d’un de ses colocataires, Julian Melchiori, qui est actuellement sous contrat avec les Panthers de la Floride, alors qu’ils ont passé un été ensemble. Les repas de Mark sont préparés par un chef privé maintenant, raison pour laquelle il ne cuisine pas souvent, mais il jure qu’il s’en tire bien devant un four.
Par contre, ce n’est pas tout à fait le cas pour la lessive qui, selon Mark, est « la tâche la plus difficile » de celles qu’il a dû apprendre à faire. « Vous savez », dit-il, « séparer les couleurs pâles des couleurs foncées, savoir à quelle température laver certains vêtements ».
Cette tâche semble toutefois être sous contrôle de ces jours. Du moins, d’après Mark.
Sa mère, Mary Lou, n’est pas aussi certaine:
« Je ne suis pas certaine de ce que tu dis par rapport au lavage », dit-elle.
« Que veux-tu dire? », demande Mark.
« Tu “fais” le lavage? », répond Mary Lou.
Talents ménagers à part, il est évident en parlant avec Mary Lou qu’elle est très fière de son fils. « J’ai souvent les larmes aux yeux », elle note. Et ce n’est pas surprenant. Son fils est, selon les dires, non seulement un excellent joueur, mais aussi un très bon gars. Le type de gars qui devient ambassadeur pour des œuvres de charité. Le type de gars qui donne l’exemple. Le type de gars qui laisse sa place de stationnement à d’autres.
Bon, disons qu’il est plus qu’un bon gars. Cela doit d’ailleurs être pourquoi il est de plus en plus reconnu dans sa ville natale de Kitchener, en Ontario. C’est aussi pourquoi les jeunes joueurs s’attroupent dans des restaurants pour demander son autographe. « J’aurais fait exactement la même chose », explique-t-il. À cette époque, il était un jeune enfant jouant dans les ligues mineures, mais étudiait déjà avec obsession les statistiques et les formations. Un fait très souvent noté dans les articles qui portent sur lui. Le fait d’être celui qui donne les autographes plutôt que celui qui tend sa serviette de table pour la faire autographier est une expérience qui, selon lui, le « rend humble ».
Quel est le conseil qu’il aurait aimé recevoir et qu’il donne aujourd’hui à ces jeunes?
« Ne perds pas ton temps sur des choses insignifiantes »
S’il pouvait revenir en arrière, il ne perdrait pas son temps sur des « choses qui ne sont pas importantes dans l’ensemble ».
C’est un peu comme dire « Tout finira par s’arranger ». Sauf peut-être la lessive, que nous ne mentionnerons pas, car la mère de Mark est encore tout près.
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